1. Big bang
(11 /
11 / 2012)
1.1.
Sur le « big bang »
Une certaine masse de matière, supposée
« localisée » en un certain lieu, est supposée avoir « explosé »
à une certaine époque. Les conséquences évidentes en sont : l’occupation
de l’espace (lequel ?), le temps de déroulement du phénomène, l’unicité du
phénomène (d’autres masses ont-elles existé, ont-elles connu une évolution
semblable, etc).
On observe donc une phase d’expansion de
l’univers. Cette phase durera-t-elle ? Sera-t-elle suivie d’une phase de
stabilisation, ou, au contraire, d’une phase de contraction ?
Est-on aujourd’hui en fin de phase d’expansion
ou en début de phase de contraction : ceci pourrait être le cas, dans la
mesure où, lors de l’expansion (surtout à son début), les forces centrifuges
l’emportent (a priori de très loin) sur les forces centripètes (forces
d’attraction). Dans la mesure où les planètes connaissent aujourd’hui des
forces d’attraction entre elles (Newton et ses successeurs), et qu’un certain
équilibre semble persister, on peut penser que le big bang est loin derrière,
et que la contraction pourrait commencer à s’amorcer.
1.2.
Quelles hypothèses pour la suite ?
On admet qu’un corps céleste faisant partie du
« monde physique », la terre, était, au départ, recouvert
d’eau à la suite d’un « déluge » résultant d’un énorme phénomène de
condensation (cf allusion biblique). A la longue, une partie de sa surface
s’est dégagée de l’eau et s’est morcelée au gré de la dérive des continents
(tectonique des plaques).
On admet que des organismes dotés d’une « activité
biologique » (avec ou sans conscience ?) a commencé à
apparaître dans l’eau (H2O). La
planète Terre aurait d'abord été recouverte d'eau, et c'est dans ce milieu que la « vie » serait
apparue, d'abord sous forme très élémentaire (virus, bactéries,
champignons).
Certaines « espèces » nageantes seraient
ensuite, pendant des millions d’années, devenues des rampantes, puis
marchantes, grimpantes, enfin volantes. Du (seul) point de vue de
l’attraction terrestre, on peut
d’ailleurs penser que ces dernières (oiseaux, insectes, etc) sont les plus
évoluées.