La Neuveville sous Montfort

(03 / 03 / 2009)

 

1. Localisation (Lorraine, 88 - Vosges)

 

La Neuveville (D 68), commune située à environ 6 km au Nord Est de Vittel, contient quelques rares vestiges d'une forteresse médiévale. On y accède aussi par la D 429 de Mirecourt vers Vittel. Le nom d'une auberge suggère l’existence de l’ancien château, situé sur une colline parfois appelée le mont fort.

 

2. Description

 

2.1. Il s’agit d’une situation particulière où 5 communes reçu le nom d'une colline assez élevée, localement appelée le « mont fort », qui a porté un château médiéval de ce nom : la Neuveville sous Montfort vers le Sud, Domèvre sous Montfort à l'Est, Giroviller sous Montfort (Gislovilar, 1157) au Nord, Parey sous Montfort à l'Ouest, et They sous Montfort (Teil, 1289). Le village de Giroviller a été rattaché à Domjulien.

 

La « Carte de la Lorraine & du Barrois » de Gille Robert de Vaugondy (1688-1766) indique (vue partielle) un « Monfort », entouré au Nord par « Domjulien », à l'Ouest par « Remimont » et « Parey », à l'Est par « Domevre », au Sud par « They » et « la Neuville » ainsi que « Hareville ». Plus éloignés, au Nord Est, se trouvent « Ramecourt » et « Mirecourt ». On note aussi la présence d'un autre lieu appelé « la Neuville » au Nord Ouest (c’est-à-dire au Nord de Remiremont).

 

2.2. Les vestiges sont situés sur la commune de la Neuveville, village dominé par une colline élevée entourée de vallées. La pente Sud était autrefois recouverte d'un vignoble réputé. Celle du Nord, moins raide, est plutôt boisée. Sur ces pentes sont encore répandues des pierres de l'ancien château féodal : certaines seraient calcinées depuis l'incendie qui détruisit la forteresse.

 

La plateforme du sommet de la colline est en forme d’ellipse allongée d'Est en Ouest ; elle s'étend sur une longueur d'environ 100 m et sa largeur est de quelques 50 m. Un puits creusé à l'extrémité Nord Est était encore visible au début du XXème siècle, avec une profondeur apparente de 7 m et un diamètre de 2 m, en maçonnerie constituée de pierres de 0,30 m de côté. A une extrémité de la colline, une habitation contemporaine recouvre un puits assez profond (le puits précédent ?). La demeure contient des pierres travaillées de l'ancien château ; certaines pourraient même provenir d'une chapelle castrale (taille lapidaire de style monacal).

 

* plan schématique de la colline ;

 

* vue d'ensemble du mont anciennement fortifié (photographies des années 1980) ;

 

* vue de La Villeneuve depuis le « Mont Fort » ;

 

* vestiges (éboulis en bel appareil, cavités à ciel ouvert) (photographies des années 1980) : A (cavité), B (éboulis), C (plateforme), D, E et F (autres vestiges), G (talus latéral).

 

Des fouilles archéologiques seraient ici d'un grand intérêt.

 

3. Histoire

 

L'histoire du château n’est pas complètement élucidée. Ainsi, ses dates de fondation et de destruction sont inconnues précisément. Il joua un rôle important pendant plusieurs siècles, puis il semble avoir disparu assez brutalement. On le décrit parfois comme château du XIIIème mentionné (1229) comme alleu du comte de Bar, puis détruit au XVème. Cependant (Guyot), il est plus vraisemblable que cette disparition date du dernier quart du XVIème.

 

3.1. Les origines

 

Montfort supporta d'abord un castrum romain (selon Bailly, XVIIème), construit à l'époque de St Romaric (VIème) : « le siège ordinaire des comtes d'Habend estoit la forteresse assurée de Montfort sur Remoncourt » (le titre de comte attribué par Bailly aux Habend est douteux). Ce « praedium », qui avait pour chef-lieu Remoncourt, appartenait au célèbre monastère fondé par ce Saint et permettait la surveillance des voies vers Vittel, alors carrefour commercial et militaire important de cette région, appelée la Vosge.

 

L'église de Remiremont possédait aussi des droits sur Montfort.

 

« Plan de la ville de Remiremont en Lorraine ... en lannee 1649 », dessin de Beaulieu (XVIIème, cartographe) (source : BnF, Gallica).

 

3.2. Les débuts de la féodalité locale

 

Montfort devait être d'abord (Xème et XIème) un simple poste militaire : le manuscrit de l'Angelica (cf Mémoires de la Société d'archéologie lorraine) ne fait aucune mention d'un quelconque peuplement. Plus tard (XIIIème), la forteresse semble commencer à jouer un rôle réel dans le dispositif militaire.

 

Si cette terre n'a cessé d'appartenir à l'église, sa défense relevait du « haut baron » qui s'en servait pour limiter les droits du propriétaire. Selon le premier texte connu faisant mention de Montfort (1229), le propriétaire en était Henry, comte de Bar, qui accorda en fief et hommage lige (sauf l'hommage à son suzerain, le comte de Champagne) l'alloeud de Montfort au seigneur de Gondrecourt, Joffroy, fils puïné du comte Hugo de Vaudémont. Deux autres chartes (octobre 1229) reconnaissent l'adhésion du fils aîné du comte et stipulent que l'inféodation n'est que viagère, devant cesser à la mort du seigneur de Vaudémont, sans cependant mention d'un quelconque droit de l'abbaye de Remiremont. Celle-ci, antérieurement appelée « monasterium Habendense » dans les titres anciens, devint le noyau de la ville actuelle de Remiremont ; plus tard, ses religieuses furent constituées en chapître de chanoinesses nobles, sous la règle de St Benoît. Seule son abesse formulait des voeux solennels ; les autres pouvaient retourner dans le siècle. Cependant, les conditions d'admission au chapître étaient des plus rigoureuses et les preuves de noblesse requises très sévères.

 

3.3. Les transactions

 

Peu avant juillet 1246, Montfort était sous l'autorité de Mathieu II, duc de Lorraine, qui avait succédé au comte de Bar. Un acte signé alors entre l'abbesse Agnès et Mathieu stipulait que le « chasteil » de Montfort devait demeurer sous l’autorité ducale mais que les privilèges de l'abbaye sur ce praedium seraient respectés. Ces privilèges furent confirmés par 2 chartes : l'une de mars 1255, l'autre, dite « l'Echappenoise » (juillet 1295). Pour regrouper ses droits, Mathieu conclut (à la Toussaint 1247) un échange avec Guichart de Passavant, seigneur de Monthureux le Sec : Mathieu abandonne Mattaincourt en échange de Remoncourt, Segènes et Montfort (à quelques possessions mineures près). Montfort semblait alors être davantage qu'une forteresse et ses remparts enfermaient une véritable ville. Cette situation dura (XIIIème et XIVème) et ces lieux devinrent un centre important du duché.

 

Le duc Ferri III soumit par charte (1263) le château de Montfort (ainsi que d'autres) à une franchise, dite « franchise de Beaumont », qui garantissait aux civils leurs droits et leurs biens : ceci confirme l'implantation d'une population, et même de familles « titrées » (Pierfitte). Montfort possédait alors un ban constitué d'un ensemble de terres, pâtures et forêts situé hors des fortifications.

 

Les ducs (et marquis) de Lorraine y maintenaient des gardes inféodés : ainsi, une charte (mars 1280) mentionne que Perrin de Louvenci était payé 4 charretées de foin et 50 réseaux de blé pour garder, durant un an et un jour, le « chastel de Monfort » (la charte mentionne l’existence d’un étang à proximité), en échange de l’hommage lige de Perrin envers Ferri de Lorraine.

 

De même (1318), Girard de Mirecourt, bailli de Vôsge, devait 3 semaines de garde du château en échange de l'usage du four banal.

 

Deux chartes sont relatives, l’une (mars 1280) à l’hommage de Perrin de Louvenci précédent, l’autre (février 1291) à un échange entre le duc Ferry de Lorraine et un certain Jean de Rouzières. Ces actes situent certains lieux « dessoubs Monfort ».

 

Lors du mariage (1281) de son fils aîné, Thiébaut, avec Isabelle de Rumigny, Ferri III accorda, pour sûreté de sa dot, « la ville de Neufchâteau, Montfort, Châtenois et autres lieux qui relevaient de Champagne ». Thiébaut, futur seigneur de Rumigny, reconnaissait (juin 1300) tenir en fief du roi Philippe le Bel, à raison de son comté de Champagne, les terres de Montfort, Châtenois, etc. Devenu duc de Lorraine, Thiébaut II réaffirma sa vassalité, comme le fera son fils Ferri IV. Mais les relations entre France et Lorraine se dégradèrent et Louis, roi de Navarre dût saisir les terres de Frouard, Châtenois et Montfort, sans toutefois en acquérir les droits. Plus tard, la situation s'étant améliorée, Philippe de Valois exemptait (mars 1348) de toutes tailles, subsides ou contributions envers la couronne de France les populations de Frouard, Neufchâteau, Châtenois et Montfort.

 

La justice était rendue par 2 tribunaux. L'un, présidé par le chancelier de Remiremont, s'occupait des hommes du chapître (ses attributions sont mentionnées dans un acte de 1295). L'autre, sous l'autorité du prévôt, s'occupait des affaires civiles du domaine ducal : ses attributions sont incluses dans une décision de l'assise de la Vosge (1355).

 

3.4. L’essor

 

Le rayonnement de Montfort est indirectement perceptible à travers de nombreux textes, notamment ceux traitant des relations entre Lorraine et France (XIVème et XVème). Début XVème, l'hommage des fiefs de Champagne était encore source de conflits entre ces 2 états, notamment à raison de Neufchâteau, dont la situation n'avait pu être réglée de façon durable : Montfort est généralement mentionné au titre de cet hommage. Le roi Charles VI chargea (7 septembre 1409) le bailli de Chaumont d'obtenir du duc de Lorraine, Charles II, l'hommage dû au titre des terres précédentes. Cette démarche n'abouti sans doute pas car un arrêt du Parlement de Paris (1er août 1412) rappelait que « sont des fiefs du comté de Champagne les villes et châteaux de Châtenois, Frouard, Grand et Montfort". Louis XI, roi de France, écrivit (octobre 1465) à Jean, duc de Lorraine, les lettres contenant en substance : « l'an 1300, feu Thiébaut de Lorraine ait fait foi et hommage au roi Philippe « le Bel» de la chastellenie de Neufchastel, Chastenoy, Montfort, Frouard et la moitié de Grand, quoique ces terres fussent originairement du duché de Lorraine ; ledit roi, en considération de la proximité de lignage qu'il a avec ledit duc, lui cède tout l'hommage desdites terres ». Les terres et seigneuries figurant généralement dans de tels actes étaient généralement suffisamment importantes.

 

3.5. Le déclin

 

C'est à partir de cette période que la place (château et ville) de Montfort semble péricliter. Le mouvement semble progressif, mais celà n’est pas certain, la disparition du château semblant plus brutale que celle de sa ville. Ainsi :

 

* un acte notarié traitant d'un partage de terres (1725) rapporte une tradition de la Vosge : « il y a quatre ou cinq siècles que la forteresse est détruite, que depuis ce temps il n'y a plus aucune habitation et les habitants ont transféré leurs demeures à la Neuveville » ;

 

* une requête dressée pour le chapître de Remiremont affirmait (11 juin 1726) que le château avait été entièrement détruit à la fin du XVème ;

 

* un mémoire, rédigé pour un certain M. de Ravinel, indique que la Neuveville fut construite après cette destruction.

 

L'extinction de la place de Montfort semble s’être déroulée en 2 étapes : déplacement du village de Montfort (situé dans l'enceinte du château) vers l'actuelle Neuveville (toponyme révélateur), puis disparition de la forteresse proprement dite.

 

Le déplacement qui est à l'origine de la Neuveville a dû se produire pendant une période de paix suffisamment longue. Les comptes du cellerier de Mirecourt (1477) font état des contributions perçues à la Neuveville sous Montfort, sans préciser la date du changement. On peut donc présumer que le transfert a été progressif mais sans bouleversement territorial par rapport au XIIIème : les comptes du receveur de Mirecourt (1497) indiquent que « Jehan Phellepin acensa à toujours mais une pièce de terre ... séant au ban dudit Montfort ... joindant au bois dudit Montfort ... ».

 

Aucun document sur les conflits entre Bourgogne et Lorraine (XVème) ne mentionne une destruction de la forteresse, la région ayant sans doute été épargnée par les combats. Les comptes du domaine (1497, 1565, recensement de 1577, 1585 et 1616) conduisent même à prolonger de plus d'un siècle l'existence du château, faisant état de cens perçus sur des terres situées « sous les murs [ou murailles] du château ».

 

A partir de 1618, ces mêmes terres sont de plus en plus souvent référencées par rapport aux ruines (celles des murailles) de Montfort. Le château devait donc être en ruines : la dégradation a pu atteindre d'abord les murailles, puis les logis intérieurs. En effet, de 1576 à 1594, la peste et la famine ravagèrent les campagnes de Lorraine. Les guerres de religion conduisent les troupes huguenotes et allemandes à ravager la Lorraine. A La Neuveville, la population passe de 39 feux en 1553 à 12 en 1605. La garnison du château joue un rôle de plus en plus ténu (finances d'entretien en baisse, progrès de l'artillerie, stratégies militaires basées sur la mobilité). Enfin, la Vôsge et la prévôté de Mirecourt furent mises à sac et les Allemands attaquèrent (1595) la forteresse du Montfort, qui fut sans doute prise et incendiée.

 

La paix revenue, la forteresse ne fut pas relevée et fut rapidement abandonnée. Alors que la cartographie locale indique (avant 1595) l’existence d’un « castrum dirutum » à propos de Montfort, les cartes de Lorraine ne parlent plus de la forteresse après 1615. Lorsque Richelieu ordonna (1634) la démolition des châteaux lorrains, elle n'est même pas mentionnée.

 

En 20 ans, les murailles se dégradèrent et les pierres semblent avoir servi à des constructions voisines (maisons, clôtures). Au XIXème, Joanne affirme cependant que la Neuveville fut construite avec les débris du village de Ségènes, et que la butte de Montfort supportait encore d'imposants vestiges. Plusieurs ouvrages du XIXème recommandaient aussi la visite de ces ruines.

 

Les terre et montagne de Montfort, tombées en déshérence, furent attribuées (22 septembre 1717) par la chambre des comptes de Lorraine à Jean Philippe Thomerot, substitut du procureur général. Cette décision fut confirmée le 30 décembre 1720. Sa famille les conserva jusqu'à la Révolution.

 

4. Héraldique (Chesnaye-Desbois)

 

4.1. Montfort

 

Nom d'une terre possédée par une branche de l'ancienne famille de Marguerye (Normandie), qui s’établit en Lorraine au XVIIème (cf Marguerye).

 

4.2. Marguerye (olim Marguerie)

 

22907 (Normandie, Lorraine) armes des Marguerye : « d’azur à 3 marguerites tigées et feuillées d’argent 2 et 1 ». Devise : « cherche qui n’a ».

 

Outre la ligne qui va suivre, cette ancienne famille semble avoir donné 3 autres branches.

 

Celle d’Airel, qui remontait sa filiation à Jean Marguerie, donc le fils, Jacques, écuyer, seigneur de la Motte d’Airel, vivant en 1486, fut père de Guillaume, allié (1522) à Anne de Pierrepont. Leur fils Jacques, seigneur de la Motte d’Airel, épousa (1573) Marthe d’Escagneul et fut le bisaïeul de Robert de Marguerie, maintenu noble en 1671, marié (1660) à Catherine Brunel et en eu descendance (au moins jusqu’en 1789).

 

Celle de Sorteval, représentée au début du XVIIème siècle par Robert de Marguerye, écuyer, seigneur du Mesnil, qui, de Catherine Mallard, laissa Charles (François), écuyer, seigneur de Montpinçon et du Bourg, maintenu noble en 1666 sur titres remontés à 1533, allié (1672) à Claire Anfray, et père de César de Marguerye, écuyer, seigneur de Sorteval, qui épousa (1704) Françoise Le Normand et en eut descendance (au moins jusqu’en 1913).

 

Celle de Montfort, qui a donné Martin Marguerie, écuyer, seigneur de Montfort, maintenu noble (1666), marié à Anne de Cussy et père de René, confirmé dans sa noblesse (1696), allié (1695) à Marguerite Berthollet, d’où René Mathurin, père de Claude Mathurin de Marguerye de Montfort, né en 1729, cadet, gentilhonne du duc de Lorraine (1742), qui épousa Gabrielle Malcuit. Cette branche paraît s’être éteinte au début du XXème.

 

La ligne principale de cette famille remonte sa filiation à Guillaume de Marguerie (vivant en 1394) qui épousa Catherine Malherbe et en eut Michel (trace en 1419), allié à Catherine Roullard, d’où Gaultier de Marguerie, écuyer, seigneur d’Estreham (trace en 1470), dont le petit-fils Guillaume épousa 1° (1525) Marguerite Bourran, dont il eut Gille, qui suivra, 2° (1540) Marie du Praël, qui lui donna 2 fils. Le plus jeune, Guillaume, écuyer, seigneur de St Cosme, forma le rameau des seigneurs de Vienne, maintenu dans sa noblesse (1666) et finit avec Jeanne Agnès (demoiselle de St Cyr, 1774). L’aîné, Jean, écuyer, seigneur d’Estreham, épousa Scholastique de la Mare. Etc. L’un des rameaux existait encore avec Arthur (1818-1892).

(Pièces originales 1851, Nouveau d’Hozier 225, Chérin 130, Woëlmont 5, La Roque et Barthélémy, Révérend Confirmations).

 

9. Bibliographie

 

Bailly Loys, « Histoire de Remiremont », 1656

 

Bergerot M., « Le chapitre de Remiremont et ses institutions », sans date

 

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Claudel Jean Paul, « Montfort, forteresse de la Lorraine des ducs » (imprimé par la Société de patronage des Malades de l'hôpital de Ravenel, I.M.R.), Mirecourt, 1983-1984

 

Guilbert Aristide, « Histoire des villes de France », Furne & Cie, Perrotin et H. Fournier, Paris, 1845

 

Guyot Ch., « Notes sur Montfort », in Bulletin de la Société d’archéologie lorraine (pages 104-121), 1899

 

Haussonville Louis Bernard de Cléron (comte d' -), « Histoire de la réunion de la Lorraine à la France », Michel Lévy Frères, Paris, (tome 1, 1854 - tome 3, 1860)

 

Joanne Adolphe Laurent (1847-1922), « Géographie du département des Vosges », 1884

 

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Pierfitte Charles (abbé -) (1847-1910), « Une erreur de Dom Calmet. Fondation de l'abbaye de Flabémont », in Journal de la Société d’archéologie lorraine (page 197), 1898

 

Société d'archéologie lorraine, « Bulletins »

 

Société d'archéologie lorraine, « Mémoires »

 

Société d'émulation du département des Vosges, « Annales »

 

Société d’histoire et d’archéologie lorraine, « Annuaire » (fascicules annuels)

 

Torre Michel de la - , « Guide de l'art et de la nature, 88 - Vosges », Berger-Levrault Editeurs, Paris, 1977